SOLO VOX, UNE CULTURE
Pop française d'inspiration rock et pop anglo-saxonne arty. Comme beaucoup de français nés à la fin des années 60, nous avons été bercés par la musique anglosaxonne qui passait à la radio ou sur le pick up de la maison. Beatles, Stones, Stooges, Velvet, Pink Floyd, Bob Marley, Otis Redding, James Brown, Police, Lou Reed, etc. A l'adolescence, vinrent les premiers disques de hard rock comme AC-DC, ou de punk comme The Sex Pistols, The Clash. Puis la New Wave, le Ska, etc, etc.
SOLO VOX, DES RACINES
Solo Vox est baigné par cette culture dans sa sonorité. Ensuite, il y a l'exception française qui fait que le rock, la pop et même le jazz se métissent au contact de nos mots français si particuliers pour se transformer en chanson française. On rend alors hommage aux grands noms de ce métissage comme Gainsbourg, Trenet, Lavilliers, Higelin et leurs héritiers comme Arthur H, Mathieu Chédid, Mathieu Boggaert, Albin de la Simone, Bertrand Burgalat et bien d'autres.
SOLO VOX, UN SON
Solo Vox, c'est aussi un son. Le son est construit autour de matériel authentique : guitares, basses, claviers, effets vintage, amplis à lampes, chinés ici et là, échangés, revendus, rachetés après moult discussions passionnées dans les arrière-boutiques de Pigalle... C'est un choix artistique, car il serait plus simple aujourd'hui - surtout avec un budget serré et un home studio - de brancher directement nos instruments sur console et d'utiliser des plug-ins, des samples de batterie, de charger sur les effets au mixage. Nous préférons un son authentique, joué par des musiciens, et utilisant autant que possible la sonorité naturelle d'un lieu. Sans surproduire. Bien sûr, compte tenu de nos moyens, il y aura peut-être un peu plus de soufle à l'arrivée. Mais il y aura également peut-être plus de grain, plus d'anthenticité. C'est ce que l'on souhaite, en tous cas.